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Veille du marché infrastructure : Nouvelles possibilités en matière de transport et d’eau

Les gouvernements continuent d’investir dans divers projets d’infrastructure. Dans ce blogue, nous présentons un petit échantillon des initiatives, tendances et opportunités récentes pour les entreprises canadiennes dans le domaine des infrastructures de transport et d’eau.

Engagement du G7 en faveur de l’investissement dans l’infrastructure

Lors de la réunion du G7 de juin 2022 à Schloss Elmau, le Canada, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Japon, le Royaume-Uni et les États-Unis se sont engagés à réunir 600 milliards de dollars de fonds privés et publics sur cinq ans pour financer les infrastructures nécessaires dans les pays en développement.

Ciblant une alternative au projet chinois Belt and Road, les États-Unis ont déclaré qu’ils mobiliseraient 200 milliards de dollars de subventions, de fonds fédéraux et d’investissements privés sur cinq ans pour le Partenariat pour les infrastructures et les investissements mondiaux (PGII). L’Europe prévoit de mobiliser 300 milliards d’euros (317,28 milliards de dollars) supplémentaires en faveur de cette initiative. Le président Biden a également déclaré que des centaines de milliards de dollars supplémentaires pourraient provenir de banques multilatérales de développement, d’institutions de financement du développement, de fonds souverains et autres. Les fonds sont destinés à des projets dans les pays à revenu faible ou intermédiaire qui contribuent à lutter contre le changement climatique et à améliorer la santé mondiale, l’équité entre les sexes et l’infrastructure numérique.

Cette initiative est un autre exemple qui montre qu’il existe toujours de nombreuses opportunités pour les investisseurs et les entreprises dans le domaine des infrastructures, en particulier celles axées sur les infrastructures technologiques. Dans ce blog, nous présentons un petit échantillon des initiatives, tendances et opportunités récentes dans le domaine des infrastructures de transport et d’eau.

WEF Infrastructure 4.0 – Infrastructure + Technologie

Selon le Forum économique mondial, l‘infrastructure est l’un des secteurs les moins transformés sur le plan technologique dans l’ensemble de l’économie et il existe une tendance à intégrer davantage de technologie dans les projets d’infrastructure. En changeant la façon dont les gouvernements et les organisations planifient, conçoivent, financent, construisent et exploitent leurs systèmes d’infrastructure, davantage de pays devraient être en mesure d’atteindre leurs objectifs en matière de durabilité, de cohésion sociale et de croissance économique inclusive.

Le rôle de la technologie dans les infrastructures est à l’origine de la création de la communauté du projet Infrastructure 4.0 du Forum économique mondial. Conçue pour fonctionner dans tous les secteurs et toutes les industries, cette initiative vise à fournir un cadre pour l’intégration des technologies numériques aux actifs physiques.

Les treize recommandations du groupe sont classées en trois grands domaines thématiques:

  1. Créer de nouveaux écosystèmes, c’est fournir un environnement au sein du gouvernement et de l’industrie privée pour favoriser une plus grande collaboration et un meilleur alignement.
  2. Créer de nouveaux modèles d’entreprise, vise à modifier le paradigme décisionnel existant pour inclure d’autres facteurs, notamment non monétaires, dans les décisions commerciales.
  3. Building skills and education, fournit des conseils sur la manière de faire évoluer les compétences, la formation et l’éducation des personnes afin de s’adapter à un monde en mutation rapide.
Benefits of infrastructure 4.0

Source: World Economic Forum

La communauté du projet est constituée d’un groupe mondial d’experts et de parties prenantes de 17 pays. Les membres de la communauté comprennent des représentants du secteur privé dans de multiples industries, des gouvernements nationaux et sous-nationaux, des institutions multilatérales et des universités. Les membres canadiens du groupe comprennent :

  • Coprésidente : Sara Alvarado Directrice exécutive, Institute for Sustainable Finance (ISF), Smith School of Business, Queen’s University, Canada
  • Membre : Colin Earp Leader, National Transport ; Global Infrastructure Technology Chair, KPMG, Canada
  • Membre : Annie Ropar Chef des finances et chef de la comptabilité, Banque canadienne d’infrastructure, Canada

Ce livre blanc fournit plus de détails sur chacune des recommandations, mais l’un des messages clés de l’initiative est qu’il y aura de nombreuses opportunités dans l' »infrastructure physique-numérique », qui comprend le haut débit, les voitures à conduite autonome et les solutions d' »infrastructure intelligente ».

Les entreprises qui exploitent des technologies telles que l’IA/l’apprentissage automatique, l’informatique en nuage, les technologies de cybersécurité, les véhicules autonomes/électriques et la 5G dans les solutions d’infrastructure seront considérées avec intérêt.

Opportunités en matière d’infrastructures de transport dans l’UE

L’Union européenne continue d’accroître ses investissements dans les projets d’infrastructure. En juin 2022, la Commission européenne a sélectionné 135 projets d’infrastructures de transport pour bénéficier de subventions de l’UE. Ceux-ci ont été sélectionnés parmi les propositions soumises dans le cadre du mécanisme pour une Europe connectée (CEF), l’instrument de financement de l’UE pour les investissements stratégiques dans les infrastructures de transport.

« Aujourd'hui, nous allouons 5,4 milliards d'euros à des projets dans toute l'Europe qui amélioreront les liaisons d'infrastructure manquantes, rendront les transports plus durables et efficaces, augmenteront la sécurité et l'interopérabilité, et créeront des emplois. »

Après l’annonce des projets, la prochaine étape consiste pour l’Agence exécutive européenne pour le climat, les infrastructures et l’environnement (CINEA) à commencer la préparation des conventions de subvention avec les bénéficiaires des 135 projets sélectionnés.

Les projets comprendront des projets d’infrastructure ferroviaire sur le réseau transeuropéen de transport (RTE-T), la modernisation du terminal de transbordement rail-route existant en Slovaquie, la modernisation des infrastructures portuaires de base et l’installation d’une alimentation électrique à terre, des projets de transport par voie navigable pour relier la France et la Belgique, des systèmes de transport intelligents pour améliorer la sécurité routière et créer des infrastructures de stationnement sûres et sécurisées pour les poids lourds en Espagne, en Roumanie, en France, en Hongrie et en Italie, et la poursuite de la numérisation du système européen de gestion du trafic ferroviaire.

Un grand nombre des projets sélectionnés pour les subventions ont une composante d’automatisation ou de numérisation, ce qui correspond à la tendance à inclure davantage de technologie dans les infrastructures.

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Saisir les opportunités dans l’UE

Cet investissement pourrait créer de nouvelles occasions d’affaires pour les entreprises canadiennes qui font actuellement des affaires ou qui cherchent à faire des affaires dans l’UE. Le Canada et l’UE ont conclu un accord de libre-échange, l’Accord économique et commercial global (AECG) Canada-UE, qui réduit les droits de douane sur les produits canadiens, prévoit un traitement tarifaire préférentiel pour certains produits canadiens, réduit les exigences réglementaires inutiles ou discriminatoires et offre un accès de plain-pied aux marchés publics.

Pour les entreprises d’infrastructure canadiennes, les droits de douane de l’UE sont éliminés sur tous les produits originaires utilisés dans la construction et l’entretien des infrastructures, tels que les matériaux de construction, les machines de production d’énergie, l’équipement électrique, les produits ferroviaires, les produits TIC liés aux infrastructures, etc. Certains secteurs sont exclus de l’AECG, notamment les ports et les aéroports, la construction navale et l’entretien, mais étant donné l’ampleur des projets annoncés, il pourrait y avoir plus d’opportunités que d’exclusions.

L’UE publie des avis de marché sur son site Tenders Electronic Daily (TED). Ces avis sont transmis quotidiennement à l’outil canadien de recherche d’appels d’offres internationaux et traduits automatiquement en anglais et en français pour les Canadiens, quelle que soit la langue dans laquelle ils ont été publiés. Les Canadiens peuvent utiliser cet outil gratuitement. Inscrivez-vous dès maintenant pour commencer à consulter les possibilités affichées sur TED et d’autres portails en ligne.

Opportunités pour les infrastructures d’eau dans l’UE

L’UE investit également dans l’eau propre. La Commission a récemment approuvé un investissement de plus de 127 millions d’euros provenant du Fonds de cohésion pour résoudre les problèmes d’approvisionnement en eau en développant les infrastructures d’approvisionnement en eau et d’assainissement dans le comté de Buzău, en Roumanie. Parmi les projets réalisés dans le domaine de l’eau grâce au Fonds de cohésion, citons la modernisation de la station centrale de traitement des eaux usées de Domžale-Kamnik, dans la région slovène de Zahodna, et la modernisation de l’infrastructure d’approvisionnement en eau desservant 41 localités des communautés de Meliti, Perasma et Kato Kleines, dans la municipalité de Florina, en Macédoine occidentale.

Opportunités pour les infrastructures d’eau en Afrique

En Afrique, il existe de nombreuses possibilités de soutenir des projets d’approvisionnement en eau et d’assainissement. Le Groupe de la Banque africaine de développement offre de nombreux prêts et subventions pour la modernisation des infrastructures de l’eau :

  • Zimbabwe : le ZimFund soulage les habitants de Dangamvura après 22 ans de robinets à sec
  • Tanzanie : signature d’un accord de prêt de 125,2 millions de dollars pour remédier aux pénuries d’eau dans la région de Dodoma
  • Kenya : Une station d’épuration change le visage de la ville de Narok au Kenya
  • Burkina Faso, Mali, Niger et Somalie : Le Danemark accorde une subvention de 30 millions de dollars à la Facilité africaine de l’eau pour la mise en place de services d’eau et d’assainissement intelligents sur le plan climatique dans quatre pays exposés à la sécheresse.
  • Afrique du Sud et Lesotho : la Banque africaine de développement approuve un prêt de 86,72 millions de dollars pour renforcer la sécurité de l’eau et le développement socio-économique

Visitez la section des documents de passation de marchés liés aux projets pour trouver plus d’informations sur les plans de passation de marchés pour les projets qui vous intéressent.

Opportunités pour les infrastructures d’eau en Amérique latine

Comme en Asie et en Afrique, il existe de nombreux fonds qui soutiennent les projets d’eau en Amérique latine. La Banque interaméricaine de développement finance également des projets d’eau et d’assainissement et compte actuellement 71 projets actifs dans ce secteur. La banque fournit une liste des contrats accordés par projet et par pays. Les entreprises canadiennes qui souhaitent participer à ces projets peuvent également consulter les avis de marché.

Opportunités pour les infrastructures de l’eau en Asie

Si l’on considère d’autres régions, en Asie, on estime que 2 milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau et à l’assainissement. La Banque asiatique de développement a un certain nombre de projets relatifs à l’eau qui sont actifs et approuvés. Les projets récemment approuvés sont les suivants :

  • Inde : Projet de gestion intégrée des inondations urbaines pour le bassin de Chennai-Kosasthalaiyar
  • République kirghize : Préparation de la gestion environnementale et du développement du tourisme durable d’Issyk-Kul
  • Chine : Projet d’amélioration du traitement des eaux usées d’Asia Cube
  • Bhoutan : Projet de développement du canton de Phuentsholing
  • Viet Nam : Projet d’extension du traitement des eaux de Binh Duong

Visitez le site de la BAD pour les projets récemment approuvés et les appels d’offres en Asie.

Le marché à fort potentiel de croissance de l’Asie du Sud-Est pour les infrastructures

Outre les opportunités dans le secteur de l’eau, il existe de nombreuses autres initiatives en matière d’infrastructures dans la région de l’Asie du Sud-Est. Il est prévu de dépenser 600 millions de dollars pour un câble de télécommunications sous-marin mondial reliant les pays situés entre Singapour et la France, y compris le Bangladesh, Djibouti, l’Égypte, l’Inde, les Maldives et le Pakistan, avec un accès Internet fiable et à haut débit.

Voici quelques exemples de ce qui se passe au niveau national:

Philippines

Les Philippines sont en train de revoir leur approche des projets d’infrastructure. Le ministère philippin des transports (DOTr) a récemment annoncé qu’il avait effectivement annulé trois grands projets ferroviaires avec des homologues chinois lancés sous l’administration précédente en raison du retrait du financement. Cependant, le président Ferdinand « Bongbong » Marcos Jr souhaite davantage d’investissements dans le secteur du transport ferroviaire et a demandé au DOTr de retourner à la table des négociations pour obtenir les accords de prêt.

Le président Marcos a également promis de poursuivre les développements d’infrastructures réalisés sous son prédécesseur, l’ancien président Rodrigo Duterte. Une résolution a été déposée qui propose le programme « Build, Build More » comme cadre national de développement des infrastructures, qui doit donner la priorité à l’achèvement des projets d’infrastructure qui ont été mis en œuvre ou ont été préparés pour être mis en œuvre par l’administration Duterte et d’autres administrations précédentes.

CANBuild G2G Philippines est un nouveau programme lancé conjointement par la Corporation commerciale canadienne (CCC), Exportation et développement Canada (EDC) et le Service des délégués commerciaux pour aider les entreprises canadiennes à remporter des contrats d’infrastructure avec le gouvernement philippin. Pour discuter de cette initiative, contactez-nous.

Indonésie

En Indonésie, le ministère des travaux publics et du logement public (PUPR) propose aux investisseurs 26 projets d’infrastructure jusqu’en 2023, d’une valeur de 165,68 billions de roupies (11 milliards de dollars américains), en utilisant le système de partenariat public-privé (PPP).

Bangladesh

Le Bangladesh devrait avoir besoin d’un investissement d’environ 35 milliards USD d’ici 2041 dans le secteur de l’électricité. La Banque mondiale a également approuvé un crédit de 500 millions de dollars pour aider le pays à améliorer la préparation aux catastrophes contre les inondations intérieures dans 14 districts exposés aux inondations, au bénéfice de plus de 1,25 million de personnes.

La Banque asiatique de développement (ADB) a également un certain nombre d’initiatives au Bangladesh. Selon sa fiche d’information, la première tranche (400 millions de dollars) d’un projet de corridor routier contribuera à la construction de l’autoroute Dhaka-Sylhet, longue de 210 kilomètres. Un prêt supplémentaire de 13,5 millions de dollars permettra d’élargir un projet en cours visant à moderniser l’irrigation et à améliorer la gestion, l’exploitation et la maintenance des grands systèmes d’irrigation. La BAsD a également fourni 9,6 millions de dollars de subventions et d’assistance technique pour la réforme de la protection sociale et des systèmes de gestion des finances publiques, le renforcement des capacités des petites, moyennes et petites entreprises (PME), la gestion des ressources en eau, la sécurité et l’entretien des routes et la planification stratégique des transports.

Participer aux opportunités d’infrastructure pour les entreprises canadiennes

Ce qui précède n’est qu’un petit échantillon des opportunités dans le secteur des infrastructures de l’eau. Les entreprises canadiennes qui souhaitent en savoir plus sur ces projets et d’autres projets internationaux, et savoir s’il existe une opportunité pour elles, devraient consulter le Service des délégués commerciaux du Canada.

Une autre option consiste à utiliser l’outil canadien de recherche d’appels d’offres internationaux pour rechercher des avis de marchés publics. Cet outil reçoit 5 000 nouvelles demandes d’offres chaque jour et est accessible gratuitement aux entreprises canadiennes sur inscription.

Augmentation de la demande de PPP pour les projets d’infrastructure

Outre les projets approuvés, les entreprises canadiennes ont également la possibilité de tirer parti des partenariats public-privé (PPP) pour établir des relations d’affaires directes avec les gouvernements et créer des opportunités d’infrastructure.

« Le COVID a été la priorité numéro un de tous les gouvernements. Les soins de santé ont fait peser de lourdes contraintes financières sur les gouvernements, et pourtant les besoins en infrastructures sont toujours là. Ainsi, nous voyons des pays qui n'ont jamais fait de partenariats public-privé (PPP) en faire 10 à 15 par an. »

Pour que les entreprises canadiennes soient compétitives dans ce nouvel environnement, elles doivent apporter des capitaux propres et du financement. Les gouvernements s’attendent à une solution à la fois technique et financière aux projets « , dit M. Dechamplain. « Assurez-vous d’identifier vos sources de financement dans la proposition pour montrer que votre offre est viable, attrayante et finançable. »

Au-delà des partenaires disposant de liquidités pour le projet, les gouvernements souhaitent également faire des affaires avec des entreprises prêtes à fournir des avantages à la communauté, que ce soit en partageant la propriété intellectuelle, en fabriquant localement ou en employant des travailleurs locaux.

« Il ne s’agit plus de faire venir ses propres travailleurs, équipements, matériaux », dit Dechamplain. « Embauchez des partenaires locaux, contribuez à faire croître l’assiette fiscale et à augmenter les revenus sur le terrain. » Même s’il ne s’agit pas d’une exigence technique d’une offre spécifique, inclure la localisation peut augmenter les chances de succès.

Les entreprises disposant de moyens suffisants peuvent également soulager les gouvernements en investissant dans des études de préfaisabilité et des études de marché avant de formuler des propositions. « Les gouvernements ne sont plus en mesure de financer ce genre de travail de base, et ils peuvent être impressionnés par le fait que vous ayez pris l’initiative », explique M. Dechamplain.

Comment le Canada et la CCC peuvent aider

La Corporation commerciale canadienne offre plusieurs services pour aider les entreprises canadiennes à saisir les opportunités de projets d’infrastructure du gouvernement. En plus des conseils en matière d’exportation, notamment sur la façon de participer à des PPP, nous offrons un programme appelé Maitre d’oeuvre international. Dans le cadre de ce programme, nous utilisons des accords d’équipe, assumons le rôle de maître d’œuvre et fournissons une garantie d’exécution du contrat du gouvernement du Canada pour l’acheteur gouvernemental. Le résultat est que nous aidons à faciliter des acquisitions plus rapides, à réduire le risque d’acquisition et à améliorer les résultats des projets pour les acheteurs gouvernementaux étrangers.

Une autre option consiste à utiliser l’outil canadien de recherche d’appels d’offres internationaux pour rechercher des avis de marchés publics. Cet outil reçoit 5 000 nouvelles demandes d’offres par jour et est accessible gratuitement aux entreprises canadiennes sur inscription.

Pour discuter de ces options et d'autres.

Ce billet a été mis à jour le 17 août 2022.

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Dans ce blogue, vous apprendrez comment l’étroite collaboration de la CCC, le Service des délégués commerciaux du Canada (SDC) et l’Exportation et développement Canada (EDC) a permis l’entreprise canadienne Groupe Helios d’obtenir un contrat de 50 millions de dollars américains avec la République dominicaine. Le contrat GàG permettra de nettoyer un segment du ravin de Guajimia et d’améliorer la vie de 350 000 personnes.  

Terragon Environmental Technologies est une petite entreprise canadienne qui a une grande vision : rendre tout ce qui va des bases militaires éloignées aux stations balnéaires et aux bateaux de croisière aussi autonome que possible sur le plan environnemental. Grâce à des solutions de gestion des déchets et de l’eau innovantes conçues pour concrétiser cette vision, Terragon a attiré l’attention de grands acheteurs du monde entier, dont le département de la Défense (DoD) des États-Unis.

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